Reiki et hypnose humaniste au Tampon
Centre de bien-être Oiseaux Paradis
Reiki et hypnose humaniste au Tampon

Les 9 blessures qui dirigent notre vie


Elles se transmettent toujours des parents vers les enfants au cours la petite enfance et cela de manière totalement inconsciente. Nous héritons inévitablement de la blessure que porte notre père ou notre mère qui nous l’enseigne sans même le vouloir au quotidien durant notre éducation. Elle deviendra notre blessure principale, celle qui oriente nos existences et décide de nos choix. Nous pensons agir et décider de manière réfléchie alors que telle un programme implanté en nous « la blessure » décide et enclenche nos réactions. 

Parfois elle nous cause une grande souffrance alors nous pouvons en vouloir consciemment ou inconsciemment à nos parents. Or s’ils n’étaient pas eux même porteurs d’une blessure, jamais ils ne nous auraient fait de mal. En vouloir à nos parents provoque une production d’énergie négative  et épuisante qui peut gâcher toute notre existence.

Ma méthode pour vous accompagner dans l’identification souvent pas évidente de ces blessures  d’enfance et leur soin est basée sur une technique, celle de Patricia d’Angeli. Elle repose également sur une écoute attentive, le respect et une grande douceur. Lorsque la confiance est établie, telle le renard du petit Prince, l’inconscient accepte plus facilement de dévoiler la douleur principale ainsi vous pourrez l’apprivoiser et la guérir.

Car il est bon d’arrêter d’épuiser nos forces dans un combat contre de vieilles douleurs, de démasquer notre blessure principale et d’accorder un pardon profond et sincère à vos parents.

Le lien pathologique n’existera plus et le moment est arrivé entrer dans un monde nouveau, un monde de liberté par-delà la blessure.

Hypnose humaniste grâce à la thérapie symbolique est une aide très efficace pour réussir ce changement radical.

Si on ne la soigne pas, cette blessure initiale demeure un sujet tabou, une chose que l’on cherche de manière inconsciente à  cacher, à enfouir dans le cercle familial, à oublier. Pourtant notre esprit  sent bien que cela fait mal. Alors, pour nous protéger il pose des protections qui restent illusoires.   Le mal-être, comme l’Hydre, ressurgit toujours plus fort à travers des comportements répétitifs  et nous gâche la vie.

 

Les réactions face à la blessure

Les protections que notre esprit conscient met en place sont au nombre de trois :

La banalisation :

Réduire le problème à une toute petite chose.

« Ce n’est rien ça ira mieux demain !

Pas de quoi en faire un drame ! ça arrive à tout le monde ! »

 

Le déni :

Consiste à se persuader que la blessure n’existe pas. L’adulte exige le silence. Cela n’est jamais arrivé ! Ainsi dans certaines familles, de lourds secrets  peuvent subsister à travers plusieurs générations, causant de gros dégâts dans plusieurs vies. Ils peuvent être graves et recouvrir d’un voile des actes terribles comme le viol, l’inceste ou le meurtre.

 

La projection :

La projection est utilisée par le plus grand nombre. Nous projetons sur cette personne qui nous devient insupportable ce qui ne va pas en nous. Le but inconscient est de nous débarrasser du malheur qui nous étreint ou tout du moins de le partager en espérant ainsi le diluer. Souvent nous détestons en l’autre une part de nous-même que nous renions et cela fait mal ! Il est humain de ne voir dans le monde autour de nous que ce qui ressemble à notre blessure ou nous la rappelle.

 

D’après vous quelle est donc votre blessure ?  Est-elle devenue consciente ?  Est-elle restée enfouie en vous, toujours inconsciente ? êtes-vous prêts à partir à sa recherche ?

Lorsque vous l’aurez découverte et comprise, le monde autour de vous n’aura surement pas réglé tous ses problèmes, mais votre perception en sera différente.  Rien ni personne n’entravera plus l’épanouissement de ce que vous êtes profondément. Les inévitables aléas de l’existence ne sauront éteindre cette lumière qui brille en vous. Vous éprouverez  l’éblouissement d’un vrai sentiment de paix et de neutralité bienveillante à l’égard des blessures d’autrui.

 

Les neuf blessures les plus courantes :

La blessure de la maltraitance :

La pire de toute ! heureusement elle n’est pas le lot commun ! Celle des enfants martyrs, battus maltraités parfois par des parents eux même anciennes victimes animés par cette croyance fausse de les rendre forts, de « corriger » leur faiblesse.

Il existe un risque que l’adulte  reproduise cette maltraitance.

 

La blessure de  l’abandon ou de la séparation :

Celle-là, tout le monde l’éprouve à des degrés différents, nous l’avons tous ressenti au moment de la naissance alors que notre bien-être et notre survie même dépendaient de l’autre. Certains évènements et circonstances de vie ont pu aggraver cette blessure  et générer une difficulté à créer des attachements stables.

 

La blessure de la non-reconnaissance :

L’enfant développe une identité qui compte beaucoup pour lui à partir de ses  capacités innées, sa place dans la famille, et l’environnement qu’il perçoit autour de lui.  Cette aspiration profonde de l’enfant est contrariée ou même moqué par ses (ou un de ses) parents qui lui impose(nt) son (ou leurs) propre projet. L’enfant pour garder l’amour de ses parents est alors séparé de sa première identité et soumis aux attentes de son entourage qui ne sont pas les siennes.

 

La blessure du rejet :  

L’enfant rejeté est celui que ses parents ne voient pas, n’écoutent pas ! Il peut bien tout faire pour attirer leur attention il a l’impression d’être transparent. Ses parents sont toujours occupés à autre chose que l’enfant ressent comme plus important que lui. Il a l’impression de ne pas compter et il se sent comme le petit fantôme de la maison.

 

 La blessure de la trahison :

L’enfant victime de la trahison survit dans un système non fiable, incertain qui ne lui apporte pas la sécurité vitale dont il a besoin. Au départ il peut s’agir simplement d’une parole non tenue ou de la divulgation par un parent d’un petit secret qui peut sembler anodin mais qui est très important pour l’enfant.  Il sent sa structure de protection s’effondrer, le parent protecteur devient un traître. Alors trahi et privé des repères indispensables à un développement sain de son identité, l’enfant risque de sombrer dans des pathologies lourdes voire des troubles psychiatriques.

Il n’a plus confiance en rien puisque son petit monde s’effondre. Comment continuer à croire en celui des adultes ?

 

 La blessure de l’injustice :

Si de manière régulière les parents font porter sur un enfant toutes les fautes de la fratrie alors qu’il se sait innocent, cette attitude provoque en lui un insupportable sentiment d’injustice. D’autant plus qu’il voit détruits  tous les efforts qu’il fait pour plaire à ses parents et attirer leur affection.

Plus tard devenu adulte, il peut même s’accuser de crimes qu’il n’a pas commis.

 

La blessure de l’humiliation :

Cette blessure est différente de celle de la non-reconnaissance dans la mesure ou les parents n’imposent aucun projet à leur enfant. Ils se contentent de le critiquer et de l’insulter dans tous les domaines de sa vie.

« Tu n’y arrivera jamais, tu es vraiment trop nul !

Tu es un parfait idiot, tu es moche, tu me fais honte !

Même sans atteindre de tels extrêmes comment ne pas nourrir un terrible complexe d’infériorité.

 

La blessure de l’enfant sorcier :

Cet enfant-là a toujours entendu : il n’y pas de problèmes, il n’y a que des solutions. Ses parents sont des psychothérapeutes, assistantes sociales, artistes reconnus ou alors chefs d’entreprise. L’enfant doit être trop mature et trouver des solution à tout pour justifier l’héritage de ses parents. Malheur à lui s’il ne se montre pas à la hauteur.

 

La blessure de l’enfant-roi :  

Ces enfants-là ont été le centre du monde. Ils ont été admirés et sans cesse valorisés. Leurs parents rechignent à les punir et à leur infliger des règles éducatives sous prétexte qu’elles les feraient souffrir. Ils sont couverts de cadeaux et d’attention et n’ont pas à se battre pour obtenir l’amour et l’attention de leur parents.

Cette blessure montre que l’excès d’attention et le manque de fermeté éducative peuvent devenir des poisons susceptibles de fragiliser l’adulte.

 

Il existe trois façons de vivre ses blessures :

Les rejouer, les refouler ou les sublimer. Nos blessures peuvent êtres nos pire ennemies lorsque nous les rejouons, ou les refoulons mais elles peuvent êtres nos amies dans  la réussite et la sublimation artistique.

Il convient de rester vigilant car la manière de les exprimer peut varier au cours des différentes situations de vie  et il est possible de passer de l’un à l’autre.

Lorsque nos blessures sont source de souffrance et de comportements répétitifs d’échecs sans rien nous offrir en échange il convient d’en prendre conscience et de les soigner.

Hypnose humaniste et la thérapie symbolique sont une formidable voie pour se libérer enfin des blessures d’enfance et gagner énergie, paix intérieure et bien-être.

 

Inspiré par le travail de la brillante Patricia d’Angeli, psychothérapeute  et enseignante à L’IFHE  et créatrice de la thérapie symbolique avancée


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